Pour sensibiliser aux effets du réchauffement des eaux, les candidat-e-s du CG-PCS vont nager jusqu’à Berne

Les candidat-e-s de la liste du Centre Gauche-PCS pour les élections au Conseil national mèneront dès aujourd’hui et d’ici à l’été une action de sensibilisation aux effets du réchauffement climatique sur les eaux, en descendant à la nage la Sarine, en traversant tout le canton de Fribourg, jusqu’à la ville fédérale. Lors de chaque point de transition (barrage etc.), le candidat-e-s qui aura nagé jusque là s’arrêtera pour lire publiquement un passage de la thèse du professeur Fisher (Université d’April Springs, Australie) “Réchauffement climatique et cours d’eau : une évolution préoccupante” publiée en 2017. Ensuite, un-e autre candidat-e prendra le relais, et ainsi de suite jusqu’à la dernière étape qui conduira la présidente Sophie Tritten jusqu’aux abords du Palais fédéral de Berne, où une conférence de presse sera donnée.

Die KandidatInnen der Mitte Links-CSP schwimmen nach Bern, um auf die Auswirkungen der globalen Erwärmung auf die Gewässer aufmerksam zu machen

Die Kandidatinnen und Kandidaten der Nationalratsliste der Mitte Links-CSP werden ab heute und bis zum Sommer eine Aktion zur Sensibilisierung für die Auswirkungen der Klimaerwärmung auf die Gewässer durchführen, indem sie die Saane hinunterschwimmen, durch den ganzen Kanton Freiburg bis zur Bundesstadt Bern. An jedem Übergangspunkt (Staudamm etc.) wird der/die Kandidat/in, der/die bis dahin geschwommen ist, anhalten und öffentlich eine Passage aus der 2017 veröffentlichten Dissertation von Professor Fisher (Universität April Springs, Australien) “Global warming and river waters: a concerning development” vorlesen. Danach übernimmt ein/e andere/r Kandidat/in und so weiter bis zur letzten Etappe, die die Präsidentin Sophie Tritten bis in die Nähe des Bundeshauses in Bern führen wird, wo eine Pressekonferenz stattfinden wird.

Pétition du SSP contre la stratégie Éducation numérique du canton de Fribourg : prise de position du CG-PCS

Le Centre Gauche-PCS Fribourg prend note avec étonnement de la pétition contre la stratégie Education numérique du canton de Fribourg.

  1. Le message officiel du Conseil d’Etat n’ayant pas encore été officiellement publié, le choix du moment semble inopportun pour transmettre cette pétition.
  2. Les pétitionnaires oublient que le Lehrplan 21 et le PER exigent que les élèves développent des compétences en informatique et dans l’utilisation des médias. Ces plans d’études ne sont pas négociables. Les CO de la Singine et de nombreuses écoles primaires de la partie germanophone du canton ont fait le choix depuis quelques années d’équiper numériquement chaque élève. Les longues années d’élaboration et de mise an œuvre du concept, l’accompagnement étroit des enseignants, la participation des parents et la collecte continue d’informations en retour ont permis, après deux ans de mise en œuvre, d’obtenir des informations instructives et positives. Pourquoi le VPOD-SSP n’en a-t-il jamais pris connaissance ?
  3. La numérisation est une réalité. C’est un défi que la société et l’école doivent relever. Il est important de réfléchir à la préparation de nos jeunes à cette réalité dès aujourd’hui. Une stratégie d’éducation numérique est déjà mise en œuvre dans une grande partie de la Suisse. Est-il dans l’esprit des pétitionnaires de refuser aux élèves du canton de Fribourg un accès équitable aux appareils numériques ? Certaines écoles disposent aujourd’hui d’un appareil pour 14 élèves, d’autres d’un appareil pour chaque élève. Cette inégalité des chances doit être corrigée.

C’est la raison pour laquelle la critique des pétitionnaires affirmant qu’il n’y a pas de vision pédagogique et que le projet est mal pensé est totalement insoutenable. Dans une époque où ChatGPT et l’intelligence artificielle sont sur toutes les lèvres, il serait naïf et imprudent de ne pas préparer les élèves en leur refusant l’accès aux appareils numériques.

Ci-dessous notre communiqué de presse précédent concernant la stratégie d’éducation numérique.

Petition des VPOD gegen die kantonale Bildungsstrategie: Stellungnahme der ML-CSP Freiburg

Die Mitte Links-CSP Freiburg nimmt mit Erstaunen Kenntnis von der Petition gegen die kantonale
Bildungsstrategie.

  1. Der Zeitpunkt überrascht, da die konkrete Botschaft des Staatsrates noch
    nicht veröffentlicht wurde.
  2. Die Petitionäre vergessen, dass der Lehrplan 21 und der PER verlangen,
    dass die Schülerinnen und Schüler Kompetenzen in Medien und Informatik
    entwickeln. Dieser Lehrplan ist nicht verhandelbar. Die OS-Sense und
    zahlreiche Primarschulen in Deutschfreiburg haben seit einigen Jahren ein
    Gerät für jede Schülerin und jeden Schüler. Die langjährige Erarbeitung und
    Umsetzung des Konzepts, die nahe Begleitung der Lehrpersonen, der
    Einbezug der Eltern und das laufende Einholen von Feedbacks haben dazu
    geführt, dass die Rückmeldungen nach zwei Jahren Laufzeit lehrreich und
    positiv sind. Wieso hat sich der VPOD nie ein Bild davon gemacht?
  3. Die Digitalisierung ist Realität. Dieser Herausforderungen muss sich die
    Gesellschaft und die Schule heute stellen und die Fragen beantworten, wie
    wir unsere Jugendlichen heute schon darauf vorbereiten und was wir
    verstärkt oder neu tun müssen? In grossen Teilen der Schweiz ist eine
    digitale Bildungsstrategie bereits umgesetzt. Ist es im Sinne der Petitionäre,
    dass nicht alle Schülerinnen und Schüler im Kanton Freiburg den gleichen
    Zugang zu digitalen Geräten haben? In manchen Schulen gibt es heute ein
    Gerät für 14 Schülerinnen und Schüler, in anderen für jede Schülerin und
    jeden Schüler eines. Diese Chancenungleichheit muss korrigiert werden.
    Aus diesem Grunde finden wir den Vorwurf der Petitionäre, dass es keine
    pädagogische Vision gibt und das Projekt schlecht durchdacht ist völlig unhaltbar.
    In einer Zeit, da Chat GPT und künstliche Intelligenz in aller Munde sind, wäre es
    naiv und fahrlässig den Schülerinnen und Schülern den Zugang zu digitalen
    Geräten zu verweigern.

Hier unten zur Erinnerung die vorherige Medienmitteilung zur kantonalen digitalen Bildungsstrategie:

Vive le Centre Gauche-PCS Broye! 3xNON pour AVS et impôt anticipé, liberté de vote pour l’élevage intensif

Réuni en Assemblée des Délégué-e-s cantonale à Domdidier, le Centre Gauche-PCS a célébré à cette occasion le lancement de sa section de la Broye, avec Anny Papaux de Saint-Aubin comme coordinatrice et personne de contact. “Aujourd’hui, c’est un engagement important qui est reconnu, et un jalon posé permettant de grandir et de faire connaître notre parti et les idées et valeurs que nous portons”, affirme Diego Frieden, secrétaire politique du parti. La jeune section se donne pour objectifs

  • de soutenir le projet Agrico qui doit être pourvoyeur d’emplois dans une logique de développement durable,
  • de faire figurer une personne (“au moins une!” selon la déterminée Anny Papaux) issue du district sur la liste du Conseil national en 2023,
  • et enfin d’être représenté au Grand Conseil en 2026!

Ainsi, en quelques années seulement, le Centre Gauche-PCS a pu s’affirmer et s’implanter dans la Broye, et y est reconnu comme composant de la gauche plurielle dans ce district. Cette collaboration, notamment avec d’autres groupes politiques et des indépendant-e-s proches du parti, se poursuivra avec le même enthousiame et la même modestie qui ont caractérisés ses débuts en Broye.

3xNON à AVS21 et à la réforme de l’impôt anticipé, liberté de vote sur l’élevage intensif

Au terme d’un débat vif et d’un échange riche, les délégué-e-s ont décidé de recommander la liberté de vote sur l’initiative sur l’élevage intensif. Ses objectifs sont tout à fait louables, et il est important d’agir dans ce domaine. Par contre, notre parti regrette le manque de dialogue avec le monde agricole, en première ligne en ce qui concerne l’élevage. Il est important de réduire l’impact environnemental de l’élevage, notamment en réduisant le gaspillage alimentaire au stade de la production (sélectivité des morceaux) et de la consommation de viande.

Notre parti rejette très clairement (unanimité, resp. unanimité moins 1 abstention pour l’augmentation de la TVS liée à la réforme) AVS21, une réforme mal ficelée et injuste. “Il faut agir sur l’égalité salariale. En les payant correctement tout au long de leur vie professionnelle, on leur permet de contribuer davantage à l’AVS sans la nécessité de travailler une année de plus” selon Benoît Rey, député.

Aucune chance non plus pour la réforme de l’impôt anticipé, dont la compensation des pertes fiscales attendues est plus qu’aléatoire. Cet objet a été rejeté à l’unanimité.

Enfin, à 374 jours des élections fédérales, le Comité cantonal a formalisé l’appel à candidatures pour le Conseil national, élection qui sera cruciale pour apporter des réformes plus justes et équilibrées que celles proposées par ce parlement.

NON à AVS21 : nous avons besoin de vous!

27.08.22 9 à 12 h – Journée de mobilisation nationale – Actions dans le canton de Fribourg

  • Fribourg (coordination Union syndicale fribourgeoise/Unia)
  • Bulle (coordination PS), rendez-vous à côté de la Coop à la Grand-Rue
  • Morat (coordination Femmes PS), rendez-vous à 9h à la gare CFF
  • Estavayer (coordination Syna), rendez-vous à 10h
  • Lac Noir (coordination Syna)

NEIN zur AHV21: Wir brauchen euch!

27.8.22 9-12 Uhr – Nationaler Aktionstag – Kanton Freiburg

  • Freiburg (Koordination durch FGB/Unia)
  • Bulle (Koordination SP), Treffpunkt neben dem Coop an der Grand-Rue um 9 Uhr
  • Murten (Koordination durch SP Frauen), Treffpunkt Bahnhof SBB um 9 Uhr
  • Estavayer (Koordination durch Syna), Treffpunkt um 10 Uhr
  • Schwarzsee (Koordination durch Syna)

Loi sur les impôts cantonaux directs : notre réponse à la consultation

Voici notre prise de position à la consultation sur l’avant-projet de loi modifiant la loi sur les impôts cantonaux directs. En résumé, la plupart des éléments ne sont pas contestés, mais il n’est pas acceptable d’accorder une baisse fiscale à 6% des contribuables (les plus aisé-e-s), et il est fondamental que les revenus fiscaux supplémentaires provenant du taux minimal de 15% soient répartis équitablement avec les communes.